Frédéric Malette
saigne dans la gueule de dieu
Embrasse moi comme je mords
attrapez votre flamme de vos yeux brûlant
Comment dire le vol du faucon
imaginer être l'oiseau
Menaçant d'exploser au-delà des étoiles
Le morceau de ciel bleu dans l'éclair
l'étrange temps volé des loups
les oiseaux vont devorer la chair des princes
que les loups vivent le vent
et la solitude fabuleuse
naïades
nos lèvres dans le baiser
Ceux que promet la brise
ces héros magiques
la grâce des monstres
anges inconsolables
les idoles
marquée au front un serpent dans le coeur
marquee au front un serpent dans le coeur
faites courir un poeme sans fin
petites choses
Hercule et Antaeus
joue avec l'ouragan et brave le soleil
si le ciel lui meme prend feu
DES ANGES SI FURIEUX
ta voix est un tonerre
les éclairs te cognent
prémices de sublime inutilité
Fatale
qu'importe, je suis roi.
Nous, les héros...
telle la lune prise dans la gueule
avant le vertige
dans l'aube. Soudain
BAAL
dansant dans les enfers
sur lequel reposent des empires inébranlables
Laisse respirer la pluie
fameuse part des anges
les petits corps
Qui sait où il finit ce soleil...
Reine noire
...Troie n'aura pas lieu
Furies
Caligula
roi sous les étoiles
de sombres fraternités
Lumineux à l'ombre du soleil
Babel
l'épaisseur...
Terrible inimitié de la nature.
sentiment de réalité
pour venir à ce que tu ne sais pas
Les cris silencieux
... et puis nous sortirons pour revoir les étoiles
les bannis
à propos
C.V.
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